Un accident de la circulation

Un matin, la famille Theis va en vacances à la mer et en même temps la famille Arend sort du supermarché et met les achats dans le coffre de la voiture. La famille Theis roule sur une route toute droite et soudainement un chevreuil saute devant la voiture. Papa peut éviter le chevreuil et se jette contre la voiture de la famille Arend. Heureusement personne ne s'est blessé, le chevreuil non plus. Jérôme appelle avec son téléphone mobile le numéro de secours. Après quelques minutes, les pompiers, la police et l'ambulance arrivent. Le secouriste arrive très vite et demande :

- Avez-vous mal quelque part?

- Non ! répondent tous.

Par prudence, les pompiers versent de l'écume sur les voitures pour éviter un feu. La police demande à la famille Theis, comment l'accident s'est passé. Papa raconte:

- Tout à coup un chevreuil a sauté sur la chaussée et je devais l'éviter.

Le service de dépannage arrive et remorque les deux voitures et nous appelons un taxi qui nous ramène à la maison.

Jérôme


Un enlèvement

Un jour, les enfants allaient à l'école. Mais le maître n'était pas là. Les enfants étaient effrayés. Le téléphone sonnait. Un enfant est allé au téléphone et c'était la femme du maître. Elle racontait:

-Votre maître n'est pas à l'école, car il a disparu! Un gangster l'a enlevé !

Toute la classe commençait à crier.

Tout à coup, un homme avec un masque noir est entré dans la classe. Il avait un pistolet et il menaçait les élèves.

Le gangster a ordonné:

-Haut les mains!

Les enfants levaient les mains. Le gangster criait :

-Allez vite dans le bus qui est stationné sur le rond poing.

Les enfants montaient vite dans le bus, mais Johnny se cachait sous le bureau du maître.

Lorsque le gangster était parti avec le bus, Johnny prenait le téléphone et appelait vite la police et il disait :

-Le maître et les enfants ont été enlevés.

Les policiers étaient étonnés.

La police arrivait et Johnny racontait ce qui s'était passé.

La police recherchait le bus « Stephany » avec la plaque

« 320 HW ». La police est partie de Weiswampach, mais le gangster avait caché le bus avec les enfants. Le gangster ne laissait pas partir les enfants et le maître. Après une heure pourtant, le gangster livrait les enfants à la police, mais il ne délivrait pas le maître. Le gangster a fermé la porte et il a couru très vite plus près du bus. Il s'enfuyait vers Lausdorn. Quand la police attrapait le gangster. Ils le prenaient et ils l'emmenaient en prison. Un autre policier a ramené le maître à la maison. Sa femme et ses enfants étaient contents quand le maître était à la maison. Et ils vivaient heureux et contents.

FIN

Véronique et Claudia


L'excursion

Un soir, quand les enfants sont tous rentrés à la maison, le maître de la 6ième année d'études ouvre le tiroir de la caisse de classe, parce que les élèves veulent aller au cinéma le lendemain. La classe s'est proposée d'aller à Luxembourg Ville avec l'autobus. Ils veulent d'abord aller au cinéma et ensuite dans les magasins, dans un parc et à la fin au Mc Donald's. Il ouvre le tiroir et qu'est-ce qu'il voit ? L'argent a disparu ! Il pense: « Mais ce n'est pas possible! Qui a volé l'argent? » Il rentre très étonné à la maison.

Le lendemain, tous les enfants arrivent avec des poches à l'école. Ils se réjouissent beaucoup à cause de l'excursion. Ils voient que le maître a un visage triste. Puis le maître raconte à ses élèves :

-Hier soir, quand j'ai voulu prendre l'argent de la caisse de classe, il n'était plus là !

Quelques minutes silencieuses dans la classe! Mais tout à coup, l'un après l'autre commence à ricaner. L'instituteur ne comprend rien :

-Mais pourquoi est-ce que vous riez ? J'ai pensé que vous vous réjouissez de faire cette excursion!

Puis les enfants expliquent au maître qu'ils ont pris l'argent, parce que le tiroir n'était pas fermé. Ils n'ont pas voulu que quelqu'un vole l'argent et ils l'ont caché à une autre place plus sûre. Le maître félicite ses élèves astucieux. Puis ils prennent l'argent, montent dans le bus et s'amusent très bien à leur excursion.

Kathrin, Hannah, Evelyne


La fête

Un vendredi soir Mons. Tricheux est venu du café avec une grosse somme d'argent qu'il avait gagnée au loto. Ses deux enfants Sophie et Tom étaient déjà au lit. Sa femme était assise sur le canapé du living. Elle regardait un film d'un hold-up. Mons. Tricheux est rentré à minuit et quand il a dit à sa femme ce qui s'était passé, ils criaient de joie:

-Tania, j'ai gagné 8 millions de francs à la loterie!

-Oh, mais c'est très bien. Je n'ai juste aucune idée ce qu'on va faire avec cet argent?

Ils réfléchissaient un peu et après deux minutes Mons. Tricheux a eu une idée:

-Mais, on va fêter cette chance!

-Mais où, et avec qui?

-On invite des copains quand même et toute la famille !

Ils ont dressé une liste et noté tous les noms des invités.

Mons. Tricheux est allé vite allumer l'ordinateur pour faire des invitations. Enfin, il a imprimé les invitations. Après Mons. et Mme Tricheux sont allés au lit et ils dormaient comme des marmottes.

Le lendemain matin, pendant que les enfants sont allés à l'école, Mme Tricheux et Mons. Tricheux ont fait les gâteaux et préparé les boissons pour la fête.

À huit heures, les invités sont arrivés. À huit heures et demie, ils ont commencé à fêter dans le living. Ils ont mangé du poulet avec des frites et de la salade et bu les délicieuses boissons. Après le dessert, les invités ont fêté le gagnant avec du champagne et ils ont dansé au rythme du Tango. Une demi-heure après, quelqu'un a sonné à la porte. Sophie est allée ouvrir. Devant lui se trouvait un homme habillé comme un gangster. Sophie a crié:

-Maman, maman. Un gangster. Viens vite. Ahhhhhhh! Aidez-moi. Au secours!

Sophie court vers sa mère en pleurant. Mons. Tricheux va vers la porte, mais le bandit n'est plus là. Mons. Tricheux court autour de la maison. Mais il n'y a personne. Tout à coup dans le salon, le bandit apparaît, il s'était caché derrière la voiture de Mons. Tricheux qui était dans la rue et pendant que Mons. Tricheux courait autour de la maison, le bandit est allé dans le salon, pour faire peur aux gens. Les gens se sont arrêtés pour un moment et après quelques secondes, les gens se sauvent à toutes jambes et ils courent vers la rue. Le bandit court vers la chambre de Mons. et Mme Tricheux. Il cherche le porte- monnaie de Mons. Tricheux et le trouve dans le tiroir de la commode. Après, il court vers les gens, qui sont encore dans la rue et crient :

-Au secours! Il y a un bandit!

Le gangster passe près des gens et court à toute vitesse dans sa voiture qui est au fond de la rue. Une cousine de Sophie appelle la police avec un téléphone mobile:

-Oui, ici c'est de la rue Boulevard d'Avranches Maison 28. Un bandit est venu cambrioler chez nous, mais il est parti! Allez, s'il vous plaît, voir si vous le trouver!

La police arrive sur le lieu. Le gangster est déjà parti loin des Tricheux. Quand il avait déjà roulé 3 kilomètres du lieu du crime, il retirait les vêtements de bandit et roulait jusqu'à la maison des Tricheux. Quand il arrive devant la maison de Mons. et Mme Tricheux, il descend de la voiture. Les policiers attaquent le bandit. Mais Mons., Tricheux crie.

-Attendez un moment, c'est notre cousin Camille.

Les policiers laisse le Monsieur et demandent :

-Mais alors, pourquoi vous ne l'avez pas reconnus avant? demandent un policier.

-Il était déguisé en gangster et l'on ne l'a pas reconnu à ce moment, a dit Mons. Tricheux. Alors les policiers ont libéré Camille, il a donné le porte-monnaie à Mons. Tricheux.

Ils ont continué à fêter avec Camille et les policiers.

Ils ont fêté jusqu'à 2:30 du matin.

Vanessa et Lynn


Gefangene des Dschungels

An einem sonnigen Morgen weckt mich mein Wecker. Ich ziehe mich an, wasche mich und gehe frühstücken. Um 7 Uhr fahren wir mit dem Auto zum Flughafen von Luxemburg. Von dort aus fliegen wir nach Paris. In Paris angekommen, geht's sofort in ein anderes Flugzeug. Um 10 Uhr hebt das Flugzeug der Air France ab.

Wir fliegen mit einer Concorde. In der Luft zieht ein schweres Gewitter auf. Das Überschallflugzeug wird von einem Blitz getroffen und die zwei Turbinen fallen aus. "Was passiert jetzt?", fragt der kleine Steve. Keiner gibt eine Antwort. Das Flugzeug sinkt und sinkt tiefer, plötzlich knallt es auf den Boden und ich werde aus meinem Sitz geschleudert. In Panik rennen alle Leute raus, bevor das Flugzeug explodiert. Wir sind in einem Urwald abgestürzt. Es ist schon bald Abend und die Leute wollen sich ein Feuer machen, um sich zu erwärmen. Ich suche auch Holz, doch dabei stürze ich in ein Loch. Ich schreie um Hilfe, doch es hört mich niemand. Mich beißt irgendetwas ins Bein und mir wird es schwarz vor den Augen. Als ich erwache, ist es bereits Morgen. Ich sehe, dass ich in eine Höhle gefallen bin. Ich krieche durch einen Gang, bis ich zu einem Raum komme, wo ich mich aufrichten kann. Ich mache einen Schritt nach vorne und plötzlich kommen Spitzen aus dem Boden, die mich fast getötet hätten. Ich springe also über die Spitzen; dahinter befindet sich glühendes Wasser, auf dem Zeichen gemalt sind. Ich werfe einen Stein auf eines der Bilder: Er verbrennt sofort. Also ein Rätsel. Ich bin heil rübergekommen und das Gitter öffnet sich. Der Zeichen- Code heißt: Er ist der Schatten vor der Sonne, der Auslöser aller Seuchen, sein Zorn frisst das ganze Land, und sein Hunger wird unersättlich sein.

Ich glaube, das steht doch im Buch: Seht, der ägyptische Rachegott. Ich gehe durch das Gitter und beuge mich sofort, denn es kommen von vorne Pfeile auf mich zu. An der Wand sehe ich kleine Schächte, die ungefähr die Größe einer Hand haben. Ich trete einen Schritt nach vorne und schon schießen aus den Schächten und aus dem Boden Messer heraus. Rechts sehe ich einen Balken der sich zu der anderen Seite hin erstreckt. Ich hangele zur anderen Seite und betrete den nächsten Raum. Endlich sehe ich wieder Licht, das durch einen Spalt dringt. Ich schlage gegen die Mauer und schon bricht sie auseinander. "Ich bin frei ", rufe ich. Erst jetzt höre ich das Geräusch eines Hubschraubers, packe meine Tasche aus und schieße eine Leuchtpatrone ab. Das Geräusch kommt näher und näher, bis es schließlich über mir ist. Eine Leiter wird heruntergelassen und ich steige sie hinauf. Oben empfängt mich ein Soldat. Er fragt: "Geht's dir gut?" "Ja!" antworte ich. "Wo sind die Passagiere?" frage ich. "Die Passagiere sind alle in Sicherheit", antwortet der Soldat. Wir fliegen zum Militärstützpunkt und dort werde ich untersucht. Ich bleibe zwei Tage im Militärkrankenhaus wegen dem Skorpionbiss. Ich fliege mit einem Flugzeug zurück nach Paris und dann zurück nach Hause

Jérôme


Ce matin

Ce matin, je décide de faire une boum dans notre garage.

Je vais au supermarché et j'achète des pizzas baguettes, des saucissons, des décorations et des lampes multicolores. À la maison je suspends les lampes multicolores au plafond et je suspends la décoration aux murs. Je vais chercher la chaîne stéréo dans ma chambre et la mets dans le garage. Je téléphone à mes copains et copines que je fais une boum ce soir. Alors je vais faire ma toilette à la salle de bain.

Ce soir, à neuf heures les enfants arrivent. Lorsque tous les enfants sont là, la fête commence. Je tourne le bouton et tout le monde danse. Je lance des pétards au milieu des danseurs. Tout à coup: Boum. C'est, un pétard explose sur du papier et le papier commence à flamber. Je prends mon téléphone mobile et j'appelle les pompiers. Tout le monde sort du garage. Quand les pompiers arrivent, la maison brûle déjà. Quand les parents rentrent, ils crient:

- Où est la maison ?

Je réponds :

- Mais la maison n'existe plus.

Depuis ce jour-là, je ne fais plus de boum., elle a brûlé !

Jérôme


Le meurtrier

Un jour cinq enfants jouaient au football dans la rue. Au bout de la rue habitait un homme étrange. Le lendemain, les enfants jouaient encore une fois dans la rue. L'homme quittait sa maison, il avait l'air d'avoir perdu quelque chose. Il est allé vers les enfants et disait :

-Venez mes enfants je vais vous donner des bonbons.

Les enfants l'ont suivi. Ils sont allés à la maison de l'homme. L'homme leur a donné les bonbons.

Le lendemain, les enfants sont allés chez l'homme qui leur en a donné encore une fois. Puis il dit :

- Est ce que vous vous promenez avec moi ?

- Oui ! ont répondu les enfants.

L'homme est allé se promener avec les enfants. Ils sont allés dans la forêt dans un chemin très sombre. Puis ils ont fait un pique-nique. Après, l'homme a disparu tout d'un coup. Ils le cherchaient, mais ils ne le trouvaient pas. L'homme leur a dressé un piège. Soudain, il est arrivé à toute vitesse. Il a dit:

-Venez, j'ai vu un ours!

Les enfants suivaient l'homme, mais ils n'ont pas vu d'ours. Tout d'un coup, les enfants tombaient dans le piège. L'homme rit:

-Ha, ha, ha, vous êtes tombés dans mon piège. Je suis un meurtrier. Je vais vous tuer.

Un garçon avait un téléphone portable. Il a appelé à la police.

-Bonjour ici c'est le commissariat de police.

-Bonjour ici c'est Yves c'est important ! Un meurtrier tient nous dans une forêt qui. Venez tout de suite. A coté da la rue de Weiswampach à Wilwerdange.

La police vient mais elle ne les trouve pas. Tout à coup un policier entend Yves crier, il crie a l'aide, a l'aide, a l'aide !

La police entre dans la forêt.

D'un coup, ils s'emparent du meurtrier et il l'emmènent en prison.

Le lendemain, les enfants jouent au football près l'école.

Johnny et Ralph


Un enlèvement dans le train pour Troisvierges

Pendant les grandes vacances, Kathrin, Jessica, Claudia, Vanessa et Hannah et moi, nous sommes allées à la gare de Troisvierges pour aller à Luxembourg Ville acheter des vêtements. C'était un beau jour d'été. Le soleil brillait. On est entrées dans le train et on s'est assises. On a commencé à parler.

Au bout d'un moment, Vanessa est allée aux toilettes. Une demi-heure plus tard, on s'est demandé où Vanessa pourrait bien être. Alors Jenny et Jessica sont allées voir aux toilettes si Vanessa y était. Non! Elle n'y était pas. Jessica est retournée à sa place. Mais moi, j'ai eu beau chercher, je ne l'ai trouvée nulle part. Tout à coup, quelqu'un m'a prise par derrière, et j'ai crié:

-Aidez-moi, s'il vous plaît!

J'ai vu que Vanessa était à côté de moi. Celui qui m'avait prise, c'était un gangster. Vanessa a commencé à pleurer.

-Vanessa, ne t'en fais pas, je vais nous sortir d'ici, je te le promets! J'ai donné un coup de poing au ventre du gangster. Il a lâché Vanessa, mais il me tenait toujours. Vanessa a couru vers Jessica, Claudia, Kathrin et Hannah pour leur dire, qu'il y avait un gangster dans ce train et qu'il me tenait et qu'elles devaient m'aider.

Elles ont couru vers le gangster. Elles ont commencé à lui donner des coups de poings. Mais le gangster ne me lâchait pas. Les filles sont allées aux toilettes et Hannah a téléphoné à la police avec son portable.

-Allo, oui, on est dans le train pour aller à Luxembourg Ville. Dans ce train, il y a un gangster! Il tient une de mes amies, venez vite, il a un revolver dans la main.

Les gens ne faisaient rien parce qu'ils avaient peur, ils restaient tranquilles dans un coin!

Les policiers se mettaient en route. Pendant ce temps Jessica, Claudia, Vanessa, Evelyne et Hannah sont allées encore une fois auprès du gangster. Mais le gangster ne me lâchait pas.

J'ai chuchoté:

-Allez-vous asseoir. Je vais régler ça, ne vous en faites pas, allez-y!

Le gangster a fait une petite sieste. Mais ce con n'a pas remar-qué que j'étais encore sous ses bras. J'ai tiré très doucement ses mains qui étaient autour de moi. Enfin j'ai réussi à sortir de ses mains.

J'ai cherché dans tout le train, s'il y avait une corde. Quand j'en ai trouvé une, je retournais chez mes amies.

-Tu n'as rien, Jenny, on s'est fait des soucis pour toi!

On ne pouvait pas perdre de temps.

-Vanessa, Kathrin et Hannah, vous allez chez les gens et vous les calmez. Jessica, Claudia et moi, nous allons attacher le gangster. Après nous revenons chez vous. On y va!

Quand Jessica, Claudia et moi, nous sommes près du gangster, nous marchons très doucement pour ne pas le réveiller. Nous l'at-ta-chons et nous courons vers Vanessa, Kathrin et Hannah.

À Mersch, la police arrivent et montent dans le train. Tout le monde est rassuré. Le gangster s'est réveillé et s'est mis a crié :

-Je n'ai rien fait. Ce sont ces filles qui ont commencé, elles m'ont attaché, voyez-y !

Mais la police ne l'écoute pas et l'emmène. Ils descendent les escaliers et montent dans la voiture de police.

Quand nous sommes arrivées à Luxembourg Ville, mes amies m'ont pris dans les bras et ont crié :

-Hipp hipp, hourra, Jenny est la meilleure ! Qu'est-ce que nous aurions fait sans notre Jenny ? Hipp hipp, hourra !

Et les gens qui étaient dans le train, nous avaient donné cinq mille francs à chacune. Nous sommes les meilleures !

De Jenny et Jessica


Voleur

Toutes les nuits, je l'entends dans mon armoire. Le gangster sent que je suis réveillé et il file sans laisser de traces. Une nuit, j'entends le gangster et j'allume vite la lampe. Le gangster a aussi peur de moi parce qu'il voit mon déguisement de squelette. Je dis au gangster:

-Le portefeuille de mon père est caché sous l oreiller.

Le gangster va dans la chambre de mon père et je cours très vite à la fenêtre. Je déplace l'échelle de quelques centimètres, puis je vais voir ce que le gangster fait avec mon papa. Je colle mon oeil à la serrure. Les mains en l'air, papa tremble comme un oeuf en gelée. Papa donne le portefeuille au gangster, mais dans son portefeuille, il y a seulement deux tickets de métro et une photo de ma petite soeur. Je retourne vite dans ma chambre et je fais semblant d'avoir très peur. Le gangster repasse pour sortir par la fenêtre et il veut poser un pied sur l'échelle.... et padang, il dégringole en bas. Je ferme les volets et je me recouche tranquillement.

Jérôme


L'école brûle

Un samedi, Yves et Eric font l'école buissonnière. Ils vont au supermarché pour acheter des bonbons et une Cola. Puis, Eric et Yves vont très lentement à l'école. Tout à coup Yves a une bonne idée. Il demande:

-Nous allons voler la voiture de l'instituteur ?Nous serons deux gangsters. Nous brisons la fenêtre de la voiture de l'instituteur et nous faisons un court-circuit et la voiture commence à rouler.

Eric pousse sur l'accélérateur. Eric roule à 80 km/h en direction du mur de la classe. Yves vole à travers la glace. Eric rigole, mais il tombe dans les pommes quand il voit que la voiture commence à flamber. Yves crie:

-Sortez vite.

À ce moment la voiture explose dans l'école.

La police arrive avec les pompiers. Yves et Eric vont en prison.

Yves et Eric