Le journaliste. - Bonjour, Monsieur Duschtroumpf. Accepteriez-vous une interview pour La Voix du Sud?
Duschtroumpf. - Mais avec plaisir. Je lis régulièrement votre journal, car (je m'intéresse beaucoup à votre journal).
J. - Merci. Commençons donc. Monsieur Duschtroumpf, vous êtes depuis cinq ans maire de Trifouilly-les-Oies. Est-ce que vous parlez souvent aux habitants de votre ville?
D. - Oui, (je parle souvent aux habitants de ma ville), car je trouve que communiquer est très important, et (je tiens beaucoup à communiquer).
J. - Est-ce que vous organisez pour (les habitants de votre ville) des réunions publiques?
D. - Oui, (je fais des réunions publiques) assez régulièrement. Chaque fois qu'un problème important se pose, (nous organisons une réunion publique). Les gens viennent nombreux, et (je dis aux gens) ce qui ne va pas. (Je m'adresse aux gens) aussi clairement que possible, en disant tout sans rien cacher, et (cela plaît aux gens).

Le journaliste. - Bonjour, Monsieur Duschtroumpf. Accepteriez-vous une interview pour La Voix du Sud?
Duschtroumpf. - Mais avec plaisir. Je lis régulièrement votre journal, car .
J. - Merci. Commençons donc. Monsieur Duschtroumpf, vous êtes depuis cinq ans maire de Trifouilly-les-Oies. Est-ce que vous parlez souvent aux habitants de votre ville?
D. - Oui, , car je trouve que communiquer est très important, et .
J. - Est-ce que vous organisez pour des réunions publiques?
D. - Oui, assez régulièrement. Chaque fois qu'un problème important se pose, . Les gens viennent nombreux, et ce qui ne va pas. aussi clairement que possible, en disant tout sans rien cacher, et .


J. - Est-ce que (vous racontez aux gens) aussi les problèmes d'argent?
D. - Oui, bien sûr, (je parle aux gens des problèmes d'argent). Après tout, c'est leur argent, ce sont (les gens) qui paient des impôts. (Les gens) aiment bien ces informations, (ils se sont habitués à ces informations).
J. - Est-ce que certaines personnes ne sont pas d'accord avec votre attitude?
D. - Bien sûr, (il y a toujours des personnes) qui (n'apprécient pas mon attitude). Quand (ces personnes) (me parlent de mon attitude), (je réponds à ces personnes) qu'avec l'ancien maire, il y avait toujours des problèmes, justement (parce que l'ancien maire) n'expliquait pas tout. Les gens se souviennent encore (de l'ancien maire), et nombreux sont ceux qui pensent (que l'ancien maire mentait aux gens).

J. - Est-ce que aussi les problèmes d'argent?
D. - Oui, bien sûr, . Après tout, c'est leur argent, ce sont qui paient des impôts. aiment bien ces informations, .
J. - Est-ce que certaines personnes ne sont pas d'accord avec votre attitude?
D. - Bien sûr, qui . Quand , qu'avec l'ancien maire, il y avait toujours des problèmes, justement n'expliquait pas tout. Les gens se souviennent encore , et nombreux sont ceux qui pensent .

J. - En ce moment, quels sont les problèmes dont vous vous occupez?
D. - Eh bien, il y a par exemple la réparation de certaines routes. Les travaux coûtent cher, nous n'avons pas beaucoup d'argent, et il faut (faire attention à notre argent). En plus, les habitants ont besoin de circuler beaucoup pour aller travailler: quand nous faisons des travaux, nous devons (faire attention aux gens) pour que les voitures puissent passer.
J. - Il paraît que vous aviez l'intention de faire construire un centre sportif. Apparemment, (vous avez renoncé à ce centre sportif). Pourquoi?
D. - En fait, (je pensais à ce centre sportif) depuis longtemps. Mais comme l'argent manquait, il fallait choisir entre des augmentations d'impôts, ce centre et des routes en bon état. Pour savoir ce que les habitants pensaient, (j'ai écrit aux habitants) une lettre, et (les habitants) m'ont répondu par courrier. (Les habitants) disaient, pour la plupart, (que les habitants) préféraient des routes en bon état, car ils (avaient besoin de routes en bon état) pour aller travailler. En fait, (en envoyant aux habitants) cette lettre, (j'ai demandé aux habitants) leur avis, et (les habitants m'ont donné leur avis) en me répondant par écrit. C'est un peu comme si nous avions voté.

J. - En ce moment, quels sont les problèmes dont vous vous occupez?
D. - Eh bien, il y a par exemple la réparation de certaines routes. Les travaux coûtent cher, nous n'avons pas beaucoup d'argent, et il faut . En plus, les habitants ont besoin de circuler beaucoup pour aller travailler: quand nous faisons des travaux, nous devons pour que les voitures puissent passer.
J. - Il paraît que vous aviez l'intention de faire construire un centre sportif. Apparemment, . Pourquoi?
D. - En fait, depuis longtemps. Mais comme l'argent manquait, il fallait choisir entre des augmentations d'impôts, ce centre et des routes en bon état. Pour savoir ce que les habitants pensaient, une lettre, et m'ont répondu par courrier. disaient, pour la plupart, préféraient des routes en bon état, car ils pour aller travailler. En fait, cette lettre, leur avis, et en me répondant par écrit. C'est un peu comme si nous avions voté.

J. - Existe-t-il d'autres problèmes pour lesquels vous décidez sans rien demander à personne?
D. - Oui, bien sûr, mais ce sont des problèmes peu importants, et qui doivent être réglés rapidement. En général, j'analyse le problème, (je réfléchis au problème), et si la solution est évidente, je décide seul ce qu'il faut faire (pour résoudre le problème).
J. - Est-ce que vous vous occupez beaucoup de la vie culturelle?
D. - Non, (je ne m'occupe pas beaucoup de la vie culturelle), car je n'ai pas trop le temps. C'est mon adjoint, Désiré Glandu, qui (est chargé de la vie culturelle). Récemment, il a fait agrandir et moderniser la bibliothèque, et je dois dire (qu'il est fier de la bibliothèque).
J. - Est-ce que les gens (vont souvent à la bibliothèque)?
D. - Ce sont surtout les élèves des écoles et du lycée. (Les élèves ont besoin de la bibliothèque), et (les élèves) sont contents de pouvoir (utiliser la bibliothèque) tous les jours après les cours.

J. - Existe-t-il d'autres problèmes pour lesquels vous décidez sans rien demander à personne?
D. - Oui, bien sûr, mais ce sont des problèmes peu importants, et qui doivent être réglés rapidement. En général, j'analyse le problème, , et si la solution est évidente, je décide seul ce qu'il faut faire .
J. - Est-ce que vous vous occupez beaucoup de la vie culturelle?
D. - Non, , car je n'ai pas trop le temps. C'est mon adjoint, Désiré Glandu, qui . Récemment, il a fait agrandir et moderniser la bibliothèque, et je dois dire .
J. - Est-ce que les gens ?
D. - Ce sont surtout les élèves des écoles et du lycée. , et sont contents de pouvoir tous les jours après les cours.

J. - Est-ce que vous avez parfois des vols de livres?
D. - Oui, (nous avons parfois des vols), mais c'est plutôt rare. Tout est gratuit: les gens savent que (nous offrons aux gens) un service de qualité (en prêtant aux gens) des livres, et (les gens) respectent cela. Des voleurs? Il (y a quelques voleurs), mais comme il y a plusieurs caméras vidéo dans la bibliothèque, (les voleurs ont peur de ces caméras), si bien que les vols sont très rares.
J. - Monsieur le maire, encore un mot pour nos lecteurs?
D. - Oui: (je dirais à vos lecteurs) que le projet de centre sportif n'est pas abandonné. Nous (pensons toujours à ce projet), mais nous (avons reporté ce projet) à l'année prochaine, quand les routes auront été réparées. En tout cas, le centre sera construit: les gens (veulent ce centre), et (j'ai promis ce centre aux gens).
J. - Monsieur le maire, je vous remercie pour cet entretien.
D. - Je vous en prie.

J. - Est-ce que vous avez parfois des vols de livres?
D. - Oui, , mais c'est plutôt rare. Tout est gratuit: les gens savent que un service de qualité des livres, et respectent cela. Des voleurs? Il , mais comme il y a plusieurs caméras vidéo dans la bibliothèque, , si bien que les vols sont très rares.
J. - Monsieur le maire, encore un mot pour nos lecteurs?
D. - Oui: que le projet de centre sportif n'est pas abandonné. Nous , mais nous à l'année prochaine, quand les routes auront été réparées. En tout cas, le centre sera construit: les gens , et .
J. - Monsieur le maire, je vous remercie pour cet entretien.
D. - Je vous en prie...