Un interrogatoire pénible

L’inspecteur entre dans le bureau où Michel depuis une bonne heure. Ce dernier, qui a été convoqué par lettre, se demande si cela encore longtemps. Il est presque soulagé en voyant arriver cet homme, dont les vêtements froissés par une nuit blanche.
« Bonjour Monsieur, dit-il. Nous vous avons convoqué pour un petit interrogatoire. Etes-vous disposé à répondre à quelques questions ?
- Il n’y a pas de problème, répond Michel. Demandez-moi tout ce que vous .
- Nous allons commencer par votre emploi du temps de dimanche dernier. Que faisiez-vous ce jour-là, vers vingt-deux heures ?
- Si je me souviens bien, je regardais la télévision.
- Avez-vous des témoins ?
- Vous savez peut-être que je seul. Il n’y avait donc personne avec moi. Je dois me lever tôt le lundi : je ne sors jamais le dimanche soir. »
L’inspecteur se gratta la tête.
« Bien. Et le lendemain, vers onze heures du matin ? Où étiez-vous ?
- Je travaillais. J’ai un emploi de caissier au supermarché de la rue Glaesener, depuis que j’ mes études.
- Est-il possible que vous une heure sans que personne ne l’ ?
- Non, je ne crois pas que ce possible, parce qu’il faut en permanence quelqu’un à la caisse, pour que les clients vite .

(attendre, durer***, sembler, vouloir, vivre, finir*, s’absenter*, remarquer*, être, être servi)