Dans les phrases suivantes, mettez les verbes entre parenthèses à l'imparfait ou au passé simple. Le sens doit guider votre choix.

Ecrivez vos réponses, puis cliquez sur "Vérifier".

Tout à coup, il (se produire) un grand mouvement dans la foule.
Chaque soir (éclater) un orage qui (durer) une heure.
Vers minuit, comme il (sortir) de la maison, un coup de vent (souffler) sa lanterne qui (s'éteindre) .
A chaque gare, l'omnibus (s'arrêter) , (manoeuvrer) , (attendre) on ne sait quoi, puis (repartir) .
Ce jour-là, ils (partir) à l'aube et (marcher) longtemps avant d'atteindre la ville qui (se trouver) au-delà de la rivière.
UN ORAGE.
(Au cours d'un voyage sur les bords du Rhin, Victor Hugo a l'occasion d'assister, depuis la voiture où il a pris place, à "un des plus beaux orages" qu'il ait jamais vus.)
Le soir (approcher) , le soleil (décliner) , le ciel (être) magnifique. Je (regarder) les collines du bout de la plaine, qu'une immense bruyère violette (recouvrir) à moitié... Tout à coup je (voir) un cantonnier redresser sa claie (1) couchée à terre et la disposer comme pour s'abriter dessous. Puis la voiture (passer) près d'un troupeau d'oies qui (bavarder) joyeusement. "Nous allons avoir de l'eau, (dire) le cocher." En effet, je (tourner) la tête : la moitié du ciel derrière nous (être) envahie par un gros nuage noir, le vent (être) violent, les ciguës en fleur (se courber) jusqu'à terre, les arbres (sembler) se parler avec terreur, de petits chardons desséchés (courir) sur la route plus vite que la voiture, au-dessus de nous (voler) de grandes nuées. Un moment après (éclater) un des plus beaux orages que j'aie vus.
(Victor Hugo, Le Rhin.)
(1) claie : treillage en bois.